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Photo du rédacteurGwendoline Hellot

Le besoin de reconnaissance

L’incapacité à se reconnaître soi-même, c’est-à-dire à reconnaître ce qui nous fait vibrer et nous apporte du plaisir, nous rend assoifé.e.s d’une reconnaissance qui ne viendra jamais ou ne sera jamais à la hauteur de nos attentes car l’autre ne peut avoir qu’une image partielle de notre être et n'est pas là, normalement, pour répondre à un besoin.


Plus vite on accepte sa responsabilité dans le déploiement de son bien-être personnel, plus vite on sera à même de construire notre intention de vie et de nourrir notre moteur, non pas avec des « merci » venant de l'extérieur mais avec des « ça me plaît » venant de l'intérieur.


Lorsqu’on passe ce cap, qui est presque initiatique, et qu’on commence à répondre par nos décisions et nos actions à ce qui nous fait kiffer, alors les signes de reconnaissance deviennent anecdotiques. Ils peuvent nous faire plaisir mais ne nourrissent plus notre dépendance, ils répondent à la vie (chakra 2) et plus à la survie (chakra 1), puisque c’est nous-même qui assurons le bien-être de cet étage.


Et les relations avec les autres s’assainissent car on ne leur demande plus, inconsciemment, de faire notre travail…


Attention ne pas confondre l'autonomie que cela apporte et l'aigreur ou l'indifférence qui sont juste la répression d'une dépendance qui n'a pas été suffisamment travaillée.



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